Bientot plus de poissons dans nos océans ?
La pêche de poisson ou molusque est une des principales activités de l’homme : il existerait au moins 40 millions de pécheur qui fournirait un emploi à plus de 200 millions d’individus. De plus, la pêche représente la principale ressources pour plus d’un milliard d’homme. Cependant, les ressources que nous apportent la mer ne sont pas inépuisable et la quantité de poisson dans les océans s’amenuisent peu à peu.
Si une trop grande quantité de poisson venait à disparaître de nos océans, de graves conséquences socio-économique sont à prévoir mais surtout un chamboulement dans la biodiversité de nos océans. Ainsi si certaines espèces diminuaient en nombre trop important, d’autres espèces verraient leur population grandement augmenter comme les méduses qui viendraient prendre la place libre.
Les raisons de la disparition du poisson.
La raison , la plus connue, est sans doute la surpêche qui est définie comme une pratique d’une pêche excessive sur certains poissons. Certains facteurs, lors des pêches, démontrent que l’espèce de poisson est surpêcher : tel que la diminution des prises voir la disparition de certains espèces , ou lorsque que la taille et l’age des poissons est inférieur à celles péché habituellement.
Tout ceci, démontre simplement que l’espèce de poisson est péché plus rapidement que ses capacités de reproduction. Il a été vu que lorsqu’un chalutier japonais venait à mettre à l’eau 100 crochets , il récupérait 10 gros poissons et maintenant c’était plus un gros poisson pour 100 crochets misent à l’eau.
De plus , le réchauffement climatique joue un rôle important dans la raréfaction du poisson dans certains espaces maritimes. Soit les poissons ont migré vers le nord , dans des zones où les eaux leur sont plus adaptées. Tel est le cas pour le colin lieu qui a migré des côtes des Îles féroé.
Il existerait aussi , une désertification des océans : c’est à dire des endroits où il n’y a plus d’algues ni de poissons.
Les moyens pour réduire la disparition du poisson.
Il faudrait prendre en compte les mises en garde et les études des scientifiques afin d’établir des quotas pouvant être accepter par les pécheurs. Ce qui obligerait à responsabiliser les pécheurs et les faire jouer un rôle primordial dans la sauvegarde de leur activité et des espèces aquatiques.
Il faudra , en plus, lutter contre la piraterie , qui soit pratique des pêches illégale en haute mer ou ne respectant pas les quotas et réglementations nationales.
L’augmentation des bassins d’aquaculture qui est une activité de production d’animaux ou végétaux en milieu aquatique. Même si à l’heure actuelle, il s’agit d’élevage de poissons carnivore qui nécessite deux fois plus de pêche de petit poisson ( pour les nourrir) que représente la production de poisson.
Mais des pays, tel que la Chine, se lance dans la production de poissons omnivore qui ne nécessitent par de poudre de poisson. Ces élevages de poissons sont souvent intégrés à d’autres élevages tel que le porc ou les volailles.
Le soucis, c’est que les gouvernements ne semblent pas écouter les préventions et les mises en gardes des scientifiques, préférant avoir des bénéfices à court termes et pour faire plaisir à leur électorat. A ce rythme , le poisson risque de devenir un met rare et cher.
c’est honteux ! abruti
c’est nous !
Une disparition inquiétante …
Quand est-il de la production de 2012?
Mais tagueule on s’en fout !!!
en plus la porduction qui pue ouech !!!
l’important c’est de les bouffer !!!
‘est tellement alarmant tous les problèmes lés à la surpêche. J’essaye à mon échelle de ne pas contribuer à se massacre en mangeant de moins en moins de poisson et en consommant via le label MSC.